Poussière, oiseau émerveillé, oiseau blessé Pourquoi je n’arrive pas à écrire sur Poussière ? J’ai peur d’esquinter, je crois, ce livre qui m’a tant marqué. Par où commencer ? Rien qu’en y pensant de nouveau, j’ai le cœur serré et la tête embrouillée de tous les souvenirs que cette lecture m’a laissés. Commençons … avec cette écriture…
Auteur/autrice : lescahiersdubruit
Les Variations Frankenstein – 4
Dessins de Denys Moreau
Les Variations Frankenstein – 3
Dessins de Denys Moreau
Les tiropitakia: Recette
Une recette pour les fanas de géométrie, très bon, et facile à faire (mais pas forcément rapidement cela dépend de votre habilité ). Mélangez deux œufs, 250 grammes de feta réduite en miettes, 50 grammes de gruyère râpé. Ajoutez-y un peu de poivre, beaucoup de persil et un peu de menthe, ciselés. Coupez des bandes…
Les Variations Frankenstein 1
Dessins de Denys Moreau
Cahier de poèmes #26
Jardin oublié L’espace doux entre verveines entre pensées entre reines- marguerites, entre bourdaines s’étend à l’abri des tuiles l’espace cru entre artichauts entre laitues entre poireaux entre pois entre haricots s’étend à l’abri du tilleul l’espace brut entre orties entre lichens entre grimmies entre nostocs entre funaries s’étend à l’abri des tessons en ce lieu…
Contribution dessinée à la reconstruction de la ZAD
N’ayant pas pu prêter main forte ce week-end à la reconstruction de ce qui a été ravagé durant cette dernière semaine à Notre-Dame-des-Landes, voici une contribution dessinée à la défense du bocage et de ses habitant.e.s : deux planches, que l’on clouera comme on veut, pour monter le mur d’un logis, d’une bergerie ou d’une…
Palabres, de John Berger
La nécrologie de John Berger, dans Le Monde, a pour titre : Mort de John Berger, écrivain britannique et intellectuel marxiste. Elle est signée de Florence Noiville et datée du 3 janvier 2017. Je viens de la (re)lire – mais je crois ne pas l’avoir lue à l’époque – et, devant ce titre banal, j’ai froncé…
Le jour des corneilles de Jean-François Beauchemin
Enfant, j’adorais Le bon gros géant, surtout je crois parce qu’il avait une façon de parler surprenante et rigolote qui me plaisait bien. Il y a peut-être quelque chose de ce plaisir enfantin de mélanger les mots dans le ravissement éprouvé en découvrant la langue si particulière inventée par Jean-François Beauchemin dans le court roman…