De Barbara Kingsolver, j’avais adoré L’arbre aux haricots, (parce qu’il est plein de vie, que les personnages y sont très forts et surtout parce qu’on y trouve une belle amitié entre femmes, ce qui est assez rare dans le corpus littéraire général composé à 80% d’œuvres misogynes – chiffre non contractuel). J’ai également lu plus…